Les effets d’un coaching flash

Les effets d’un coaching flash

 

On me demande souvent de donner des exemples concrets de ce que le coaching PerspeKtives permet à mes clients.

Les exemples ci-dessous sont issus de coachings flash variant entre 10 et 20 min, réalisés lors de festivals et salons. Il s’agit de personnes rencontrées ponctuellement.
Toutefois, par respect pour leur histoire, les prénoms ont été changés et aucun détail ne permet de les identifier.

Ce que ces personnes ont en commun ? En quelques minutes, grâce à l’effet du coaching PerspeKtives, elles ont changé de regard sur leur situation pour trouver comment mieux avancer vers leur objectif.

Et vous, par rapport à quelle situation avez-vous envie d’ouvrir vos perspectives ?
Peut-être allez-vous vous reconnaître dans un des exemples ci-dessous.  😉

Christophe ne se sentait pas à sa place dans son activité de salarié. Depuis enfant, il voulait faire un métier d’artisan bien précis, dont toutefois on lui avait refusé récemment la prise en charge de la formation, sous prétexte que la profession manquait de débouchés.
Finalement il a trouvé encore mieux. A l’issue du coaching, il a décidé de créer sa propre entreprise et de vendre les objets qu’il créait déjà depuis quelque temps et pour lesquels il avait inventé un procédé unique. De quoi combler son profil artistique, sa formation en techniques commerciales et sa personnalité selon lui atypique. C’était en fait ce qu’il souhaitait au fond de lui depuis toujours sans l’avoir jamais osé l’exprimer.
Pour tout vous dire, il avait pris rendez-vous pour un coaching flash lors d’un salon mais avait manqué son tour. Apparemment très déçu, il était quand même revenu un peu plus tard… à un moment où la personne prévue ne s’est pas montrée. Il a donc pris sa place. Se doutait-il qu’il avait en fait rendez-vous avec lui-même ?

 

Alicia a 14 ans. Elle vient de rentrer en 3ème et est déjà très stressée à l’idée de devoir choisir son orientation en 1ère puis ensuite après le bac. Elle demande un coaching pour y voir plus clair par rapport aux choix à faire. Elle s’avère être une jeune fille très douée, qui aime beaucoup l’école mais a aussi plusieurs passions en dehors. Elle est également inscrite au conversatoire et souhaite continuer son parcours de musicienne. En fait elle se demande surtout comment elle va faire pour pouvoir concilier tout cela, car en plus elle aime fournir de bons résulats et réussir. Au cours du coaching elle réalise qu’elle pourra très bien jongler avec ses études et ses différents centres d’intérêt, car, avec ses grandes facilités, il lui suffira de se donner à fond sur un sujet pendant un temps pour garantir un excellent niveau, tout en gardant le reste, pour ensuite lâcher un peu et se consacrer dans les détails à un autre sujet. Les efforts fournis auparavant garantiont un bon niveau quoi qu’il arrive. Elle se rend compte aussi qu’elle a le temps, que sa vie est devant elle et que les études ne sont qu’une étape. Elle décide d’arrêter de se mettre la pression et de plutôt consacrer son énergie à vivre ses passions dans le plaisir. Il se pourrait même que ses résultats soient encore meilleurs…

 

Stéphanie adore sa vie qu’elle croque à pleine dents, au point d’avoir quatre activités professionnelles. Elle est même sur le point d’en commencer une 5ème. Cependant elle vit assez mal les remarques autour d’elle, provenant aussi de sa famille, lui reprochant d’être éparpillée et incapable de choisir un métier, ce qui ne reflète pas sa propre perception. Elle réalise qu’elle peut regrouper toutes ses activités sous une même appellation car elle a en fait la même posture partout. Elle se présentera désormais comme une accompagnatrice qui décline son métier sous diverses formes. Rien n’a changé mais cela permettra de satisfaire tout le monde et de se sentir encore plus elle-même dans sa singularité.

 

Anita a multiplié les activités d’animatrice, fonction passionnante mais mal payée. De plus elle aspire à mettre son talent au service de l’organisation de projets d’animation. Cependant ses candidatures à ce genre de poste échouent systématiquement. Elle suppose un manque d’expérience. En fait elle se rend compte que la plupart de ces collègues qui sont à ces postes ont décroché leur première expérience de coordinateur en commençant par animer dans la même structure.
Elle décide de se mettre d’ores et déjà dans sa posture naturelle, qui consiste à impulser et gérer des projets, dès son prochain poste d’animatrice, sans attendre la reconnaissance de sa hiérarchie. Cela lui permettra d’être elle-même tout en montrant l’évidence de sa posture et de valoriser son expérience informelle quoi qu’il en soit.

 

Stéphane bloquait dans sa recherche d’emploi, car il n’était pas à l’aise dans la réddation et l’envoi de CVs. Par contre, au cours du coaching, il s’est rendu compte qu’il avait un réel talent pour créer une relation avec les gens naturellement et que c’était ainsi qu’il était le plus à l’aise pour rentrer en contact. Il va dorénavant aborder ses futurs employeurs potentiels directement et ainsi se dénoter des autres candidats. Sur des postes de commercial où la prise de contact est primordiale, c’est très cohérent comme approche !

 

Nadège n’en peut plus de son travail, toujours au contact des gens de manière très soutenue. Au lieu de déménager comme elle le fait régulièrement, elle se rend compte qu’elle ne respecte pas son rythme et son besoin de se poser. Elle a surtout besoin de prendre le temps en ce moment et de s’écouter. Au moment de me quitter, elle revient vers moi pour me dire en toute franchise qu’elle ne s’est pas sentie complètement accueillie dans ses émotions. Effectivement il se pourrait que le contexte d’un festival avec un enchaînement de coachings flash sur une durée aussi courte ne soit pas forcément l’idéal, d’autant plus qu’elle s’est inscrite sans avoir pris le temps de me parler auparavant. Elle semble regretter son choix qui l’a au final bousculée. Je l’écoute donc et lui demande qu’elle lien elle fait de cette expérience avec son objectif. Cela vient justement confirmer le fait que tout ce qui va vite (coaching flash de 10 min) ne lui va décidément pas et qu’elle a besoin de faire les choses à son rythme… Nous nous sourions. Finalement le coaching, dans tous ces aspects, était juste ce qu’il fallait par rapport à cette prise de conscience urgente !

 

Geneviève a un métier dans le domaine médical, mais elle ne se sent pas à sa place. Elle cherche sa voie, mais est complètement désillusionnée. Elle en a surtout marre des gens. Elle a bien tenté de se mettre à son compte il y a quelques années, mais cela n’a rien donné. Je lui fais remarquer qu’elle paraît suttout très en colère. Elle réalise qu’elle n’a effectivement pas fait le deuil de ses expérienes passées qu’elle a vécu comme des échecs au lieu d’y puiser des indices fort utiles pour la suite. Elle décide de lâcher prise, recommencer à sourire et s’ouvrir à ce que la Vie a à lui offrir.

 

Yasmina a un poste à responsabilité dans une entreprise. Elle adore sa famille pour laquelle elle souhaite avoir plus de temps. Dans cette optique, elle a pris un 80% il y a plusieurs mois. Pourtant elle continue à faire le travail prévu pour un poste à plein temps et pallier aux lacunes de certains de ses collaborateurs. Elle réalise qu’il est temps qu’elle se fasse respecter, aussi bien au travail qu’au sein de sa famille. Elle décide de remettre les personnes face à leurs responsabilités en déléguant et d’arrêter ainsi de porter ce qui ne la concerne finalement pas. Elle va dans un premier temps pouvoir continuer à vivre son activité dans le plaisir.

 

Patricia passe son temps à voyager pour son travail depuis des années, au point de n’avoir jamais eu encore de « chez elle » à 40 ans passés. Elle fait certes un travail passionnant, mais souffre secrétement de cet état de fait, car elle souhaite aussi proposer ses services sur une activité régulière, ce qui lui paraît totalement incompatible avec sa vie actuelle. Elle est sollicitée très régulièrement sur des projets dans le monde entier, son travail est plébiscité et en fait elle n’ose pas dire non, car les projets sont toujours très intéressants. Elle réalise que sa priorité est bien de se poser quelque part. Elle va changer de posture et mettre son objectif en filtre des projets proposés. Il faudra dorénavant que ceux-ci lui permettent d’avancer dans son dessein, comme par exemple des missions courtes ou en France. Elle pourra ainsi continuer à voyager seulement parce qu’elle l’aura vraiment choisi et surtout cette fois à partir d’un point d’ancrage qu’elle aura plaisir à trouver.

 

Catherine se rend compte qu’elle n’aime pas son travail car il est trop prenant. C’est décidé, elle demande un mi-temps pour mieux se consacrer à ce qui est important pour elle et renouer avec ce qui lui fait vraiment plaisir. Et pourquoi pas justement basculer ensuite sur autre chose qui lui correspond bien mieux. Elle repart avec de nouvelles perspectives.

 

Adrien était complètement sous pression entre son travail qu’il n’aimait pas et sa famille avec jeunes enfants à gérer et à nourrir. Il a réalisé qu’il n’avait plus aucun espace pour faire ce qu’il aimait. Il a décidé de proposer en soirée des cours d’arts martiaux dès la semaine suivante. Il se trouve qu’il avait même déjà une salle à disposition.

 

Annabelle multiplie les petits boulots. Elle ne concrétise jamais ses nombreuses idées de peur de se fixer sur un projet au détriment de tous les autres. Car ce qu’elle veut le plus c’est conserver sa liberté. Elle réalise qu’en faisant cela elle n’est en fait pas libre du tout, car elle reste une aspirante à la liberté au lieu de la vivre. Elle prend conscience que choisir et mettre en oeuvre signifie être actrice de sa vie et donc libre. Elle choisit une des idées qu’elle a depuis longtemps et s’engage à poser le premier pas avec une autre perspective.

 

Carole vit un harcèlement qu’ont subi d’autres collègues avant elle. Pourtant elle ne tente rien à l’encontre de son harceleur, ne voulant pas à son tour être malveillante, croit-elle. Ainsi, malgré le fait qu’elle dit avoir le job de ses rêves, elle est sur le point de le quitter. Au cours du coaching, elle se rend compte que finalement, en se taisant, elle entretient le jeu du harceleur. Dès lundi, elle prend rendez-vous avec sa hiérarchie pour dénoncer les choses.

 

Judith, proche de la soixantaine, est passionnée par les relations humaines. Elle passe son temps à écumer les bancs des séminaires de développement personnel en tous genres. Ses interventions montrent souvent qu’elle en sait plus que les formateurs. Pourtant elle s’évertue à rester dans la posture de celle qui a besoin d’être accompagnée. Elle réalise qu’elle ne s’est jamais donné les moyens de passer de l’autre côté. Elle décide de rechercher enfin une formation certifiante pour se lancer dans l’accompagnement des personnes en toute légitimité.

 

Nathalie, artiste, a fait en sorte d’avoir tout ce qu’il faut pour pouvoir se consacrer à son art : un lieu dédié, le matériel adéquat et tout le temps qu’il lui faut. Et pourtant rien ne vient, elle ne crée pas vraiment. Elle réalise que le cadre est trop vaste et qu’elle vise des objectifs de création trop ambitieux d’un coup. Elle va commencer par se fixer de petites plages horaires à partir des idées très simples qui lui viennent pour se canaliser. Mises ensemble toutes ces idées réalisées donneront certainement lieu à un grand projet très cohérent, elle en est finalement persuadée.

 

Nadia est épuisée. Elle est en profession libérale et se sent harcelée par les demandes insistantes de ses clients. Elle est en arrêt maladie et envisage de ne pas reprendre. Elle réalise qu’elle a pleinement induit cette situation et qu’en fait elle a besoin d’apprendre à se respecter où qu’elle soit et qu’elle n’a tout simplement pas posé les bonnes limites. Elle décide de mettre en place une méthode imparable pour filtrer les appels et remettre la responsabilité de la démarche dans les mains de ses clients. Elle va donc pouvoir reprendre avec beaucoup plus de sérénité.

 

Mouna voit grand. Elle souhaite créer un lieu qui regrouperait les différents acteurs autour de l’éducation alternative et à terme quitter son activité pour ce projet. Elle ne sait pas par où commencer. Elle a déjà tout un réseau. Elle réalise que son premier pas sera de trouver un lieu adéquat. En fait, elle a déjà une idée bien précise de ce qu’il faudrait. Elle va commencer par là. Nous nous donnons rendez-vous dans quelques années pour que je puisse visiter son lieu si prometteur !

 

Sophie a pris un congé d’un an. Elle a un projet ambitieux avec d’autres personnes qui ont toutes des compétences complémentaires pour le mener à bien. Cependant le projet semble s’essouffler, rien ne se passe. Sophie ne sait pas par où commencer. Elle n’a pas osé faire les démarches nécessaires auprès des personnes susceptibles d’apporter leur soutien, craignant leur jugement. Elle se rend compte qu’elle n’a pas adopté la bonne posture jusqu’ici. Elle envisageait en effet d’aller voir ces personnes en leur demandant ce qu’elles pensaient du projet, s’exposant facilement à recevoir leur avis en retour. Elle décide maintenant de bien poser par écrit la vision et l’objet du projet et de s’adresser aux personnes compétentes avec des demandes claires et nettes, ne remettant absolument pas en question le bien fondé de leur idée. Elle va prendre rendez-vous dès le lendemain.

 

Anna a découvert récemment qu’en fait elle aimait danser plus que tout. Elle souhaite intégrer une école de danse et se prépare aux concours en suivant divers cours du soir dans tous les styles. Cependant elle a tendance à se décourager, car elle dit manquer de confiance en soi. Il se trouve qu’elle se met systématiquement à se juger ou à se comparer à des danseurs plus expérimentés à peine elle se met à bouger. Elle découvre que la seule façon de prendre confiance est de laisser son corps s’exprimer systématiquement quand son mental cherche à prendre le dessus. Elle est plus que jamais déterminée à danser la vie.

 

Léonie est venue pour trouver sa voie. Elle s’intéresse aux métiers de l’accompagnement. Mais il se trouve que c’est avec sa belle voix qu’elle renouera au cours du coaching, de manière complètement inattendue…

 

Et vous, par rapport à quelle situation avez-vous envie d’ouvrir vos perspectives ? 😉
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Sylvie Filipski
www.perspektives.fr
Le coaching pour trouver votre voie, naturellement !

 

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